L’APPEL DE LA FORÊT AU CINÉMA

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Durée : 1h 40min / Genre : Aventure, drame, famille

De Chris Sanders / Avec harrison Ford, Omar Sy, Dan Steven

CINEPAX SAMEDI 4 ET DIMANCHE 5 JUILLET À 11H15 / 2D / EN VF

La paisible vie domestique de Buck, un chien au grand cœur, bascule lorsqu’il est brusquement arraché à sa maison en Californie et se retrouve enrôlé comme chien de traîneau dans les étendues sauvages du Yukon canadien pendant la ruée vers l’or des années 1890. Buck va devoir s’adapter et lutter pour survivre, jusqu’à finalement trouver sa véritable place dans le monde en devenant son propre maître…

©Twentieth Century Fox France

L’Appel de la forêt est adapté du célèbre roman de Jack London. Avant d’être publié sous la forme d’un court roman en 1903, ce récit parut d’abord en feuilleton dans les pages du magazine The Saturday Evening Post. Traduite en 47 langues, l’histoire n’a jamais été épuisée depuis, et L’Appel de la forêt est désormais considéré comme un chef-d’œuvre intemporel de la littérature américaine.

©Twentieth Century Fox France

C’est le père du producteur Erwin Stoff qui lui a fait découvrir le livre de Jack London en le lui lisant quand celui-ci était enfant. Quelques décennies plus tard, alors qu’il discutait avec le scénariste Michael Green qui cherchait un nouveau projet, il lui a proposé d’adapter L’Appel de la forêt.

Si le roman de Jack London a souvent inspiré la fiction, jamais encore il n’avait été adapté dans son intégralité. De plus, les événements avaient toujours été relatés du point de vue des humains plutôt que de celui du protagoniste, Buck. Le défi était de raconter son histoire sans que cela repose sur les dialogues ni sur une voix-off.

©Twentieth Century Fox France

Prévu pour être réalisé en images de synthèse, le film mêle finalement prises de vue réelles et numériques. Plutôt que de créer totalement le chien, l’équipe a fait appel à l’acteur, cascadeur et gymnaste Terry Notary qui a été filmé et par la suite remplacé par de l’animation. Vu dans The Square, ce spécialiste de la gestuelle et de la chorégraphie des mouvements au cinéma a étudié les chiens et leurs comportements. S’il ne devait servir que pour les gros plans afin d’avoir une référence pour le regard et l’expression des émotions, Notary a fini par prendre en charge toute l’action du chien. Sa présence a permis de faciliter le jeu des acteurs.

©Twentieth Century Fox France

Dans le livre, Buck est décrit comme le croisement d’un « gigantesque saint-bernard » et d’une « chienne colley de pure race écossaise ». L’équipe du film lui a donné la coloration du bouvier bernois car ils pensaient que les couleurs se liraient bien à l’écran. Il y avait même un vrai bouvier bernois sur le plateau tous les jours comme référence d’éclairage. Mais avec le temps, ils se sont rendu compte qu’il était difficile de lire les expressions du bouvier bernois, et que sa fourrure foncée ressortait mal dans les scènes de nuit.
C’est en consultant un site d’adoption que l’épouse de Chris Sanders est tombée sur un chien qui était un croisement de saint-bernard et de berger. Elle s’est aussitôt rendue dans le refuge pour l’adopter et l’a amené sur le plateau où il a été scanné. Les huit autres chiens de l’équipe de chiens de traîneau ont eux aussi été scannés à partir de vrais chiens.

Pour recréer Dawson City, le camp de base des mineurs pendant la ruée vers l’or, la production a construit un pâté de maisons de la ville, le reste a été conçu numériquement. Le fait de disposer des décors physiques a été d’une aide précieuse pour l’équipe des effets visuels.

©Twentieth Century Fox France

La palette de couleurs pour les costumes a été grandement influencée par le travail du peintre et illustrateur américain Eyvind Earle, connu pour son travail de stylisme et de peinture des arrière-plans des films d’animation des studios Disney des années 1950.

Source : http://www.allocine.fr

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